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11 août 2009 2 11 /08 /août /2009 17:50


Pour changer un peu : non de sujet mais de manière 












Rappelez-vous tout avait commencé comme ça !



Moi j'adore, et vous ?

Ils sont un peu f(l)ous ces photographes !



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27 juillet 2009 1 27 /07 /juillet /2009 14:23
... les colzas sont coupés !

Savez-vous d'où vient cette contine ?

Les maisons closes étaient ornées de lauriers pour se distinguer des autres et quand il a fallu fermer ces endroits d'accueil, les lauriers furent enlevés des façades ...



Plus sérieusement je m'en veux d'avoir manqué le début de la moisson de la pièce de colza, objet de toute mon attention depuis quelques semaines. J'aurais sans doute pu voir gicler quantité d'animaux (cerfs, sangliers, chevreuils et autres renards et lièvres) devant la moissonneuse...

mais je suis arrivé 2 heures trop tard. Ah ! Ces agriculteurs qui travaillent le dimanche après-midi !
(il était 20 heures !)





















Je n'ai vu que le dernier aller-retour de la machine, mais mon excuse était que je souffre toujours de ma chute de mon arbre d'observation, j'attends l'amputation ...

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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 19:38


Hier soir je n'avais pas le courage d'aller traîner dans les colzas.

Je suis allé faire un tour dans la "nurserie", voir les futurs grands cerfs se prélasser au soleil, tout velours dehors, harcelés par les mouches.



Une quinzaine de mâles, soit une demi-douzaine de plus que l'an dernier, puisque nous comptions 6 daguets, 2 secondes têtes et un 3ème tête. Bonne proportion pour une vingtaine de biches, pas toutes adultes.




Pas de cerfs exceptionnels, de daguets fourchus, pourtant l'endroit est calme et l'herbe tendre et généreuse.

Ce ne sera pas suffisant pour repeupler le massif forestier dans son intégralité, mais s'il pouvait y avoir d'autres endroits comme cette "vallée"  nous pourrions regarder l'avenir avec sérénité.


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12 juillet 2009 7 12 /07 /juillet /2009 13:29


Dimanche matin : chagrin, il brouillasse.

Hier après-midi j'ai graissé mon Barbour, pour préparer la saison hivernale et profiter du temps chaud pour étaler sur le tissu : c'est plus facile. C'est aussi l'occasion de l'endosser ce matin.

A peine arrivé, déjà repèré 2 cerfs dans le colza. Bonne brise pas très favorable mais il FAUT que je grimpe dans mon poste : ils sont à 30 mètres.
Depuis mon premier mirador, confirmation: ils sont là.







Je dois accèder à l'autre affût, mais une fois encore une branche casse et me trahit ; un autre cerf se montre et s'éloigne vers la forêt, tranquillement. C'est Acajou, le grand 14.



Dernier tour d'horizon aux jumelles : les 3 animaux sont rentrés dans la forêt, je peux descendre. Pas de Henri IV en vue, pourtant "ON" m'a dit qu'il était là hier au soir.
Je range le matériel et soudain une paire de velours surgit de la végétation à quelques mètres de moi.
Saisir l'appareil, allumer, cadrer, mettre au point et déclencher, sans trembler. C'est sûr c'est Louis XIV qui s'éloigne avec 2 autres compères. Ils vont rejoindre leurs congénères.



Je suis tout moite (et sent bon)
Je
n'ai plus qu'à faire un tour dans le bois, peu de chance de revoir les 6 cerfs rentrés en forêt, mais qui risque rien n'a rien.
Une grande boucle pour me mettre à bon vent et je croise 3 cerfs en velours dans le sous-bois. Ils s'éloignent tranquillement sans me voir :



Je vais tenter de les mettre en boîte au passage du chemin plus haut.
Toujours la chance ( et l'expérience ? )
15 ème de seconde, j'adore ce genre d'image et en plus c'est Louis XIV au petit trot !





Il est temps de rentrer, un détour pour les laisser tranquilles et une fois au calme, je découvre le résultat : j'ai l'impression d'être à califourchon sur Louis XIV ! J'aurai du mal à le faire mieux sinon de face.



Il n'a pas toujours porté et ne portera pas 14 toute sa vie il vaudrait mieux le surnommer : le "Z" comme me l'ont suggéré d'autres aficionados qui le connaissent depuis plusieurs saisons.



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10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 22:45


Si Henri IV n'est pas un cerf très catholique au moins il m'a converti ;

ce soir il y avait du monde sur le terrain, au moins les bracos sont surveillés. J'ai eu à peine le temps de monter dans mon affût que déjà HIV (en abrègé ça craint un peu non ?) était déjà sur pied avec son vassal (Sully ?) et un autre jeunot (en bas à droite).



Vous ne le reconnaissez pas ? Attendez, je vous l'approche :



Alors vous voyez, en haut sur le bois gauche il porte 5 ! avec ses 2 surandouillers de chaque côté (très courts je vous l'accorde) ça fait 9 et 8 à droite !

Voici de face :



Bon là vous ne voyez pas sa mâchoire tachée de blanc, mais avouez que ses velours sont particulièrement pâles, à comparer avec Acajou...
Il mérite bien son nom : Henri IV. Quoique Louis XVII ... mais ne lui portons pas la poisse ... son avenir serait bien court.

 
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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 22:17


Il n'y pas que Henri IV, Louis XIV et Acajou :

d'autres amis photographes ont archivé des animaux qui font rêver ......



Moi, celui-là je l'appellerais bien candélabre (mais non pas quand délabre) puisqu'il ne sort que la nuit ... ou chandelier (pas champ de lié, mais champ de maïs)

Alors d'après vous : il porte combien ?

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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 00:00


Saviez-vous que le lièvre n'a pas besoin de rétroviseur ?




Quand il détale il posséde une vision rétro !




Même à 180° :



En fait j'étais venu pour approcher une chevrette couchée dans les blés et j'ai été trompé par les oreilles du capucin, mais pour la peine j'ai fait les 2 !



Et là pas d'yeux dans le dos mais du ressort dans les pattes



Moi ça m'épate dans les 2 cas.
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7 juillet 2009 2 07 /07 /juillet /2009 21:28


Hier soir, visite accompagnée de la plaine :

Mon "invité" reste posté et rempli son carnet de notes, pendant que je fais une approche tant l'envie m'est irresistible.

Encore une fois la chance est de la partie, mais pas le vent : je réussis sans déranger à mettre en boîte celui que désormais je nommerai "Acajou" couleur de sa ramure presque dépouillée.

Ce n'est autre que le grand 14 déjà vu en compagnie de Louis XIV (voir épisodes précédents)



Il porte 5 en haut sur le bois gauche mais il lui manque son surandouiller [si sa couleur brun rougeâtre disparait je l'appellerai "Censure" (sans surandouiller)]

Il est avec Henri IV mais la lumière manque, je crois qu'il est encore plus prometteur qu'observé précédemment ... !!!

Ce soir en promenant la chienne Dundee, j'ai déjà fait les clichés pour le prochain article.







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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 21:27


Ce matin (hé oui même le dimanche) visite au colza.

Arrivée 8h30 (faut pas exagérer) un coup de jumelles dans la plaine : rien.

Ascencion au mirador pour un tour d'horizon : pas grand chose, une petite brise bien orientée pour aller me poster dans mon affût, et soudain une silhouette dans le colza, c'est un de mes protégés.

Vite en place. Desente, progression, contrôle des abords et bien sûr le chevreuil de service, mais pas de problème il n'est pas sur ma trajectoire.

Mais contre toute attente une deuxième paire de velours se dresse dans la végétation et là ils sont juste sous mon affût : inespéré, mais je ne suis pas en place !





Il me faut progresser pour faire mieux.

20 minutes plus tard les cerfs se sont éloignés, enfin suffisamment pour que je puisse sortir l'échelle et monter dans mon affût avec, malgré tout des difficultés, car mon échelle a glissé; mais heureusement mon entraînement à l'escalade a servi.

Et voici le résultat :





C'est bien ce qu'il me semble : c'est le grand 14, c'est donc tout naturellement qu'après Henri IV, je le baptise : Louis XIV !

Il me fait même l'honneur de lever la tête pour bien confirmer son rang.








Certes les surandouillers sont un peu maigre mais ....

A bientôt !

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2 juillet 2009 4 02 /07 /juillet /2009 08:10


Mercredi 1er juin :

Dans la matinée balade professionnelle (!) mais avec l'appareil qui m'accompagne toujours et photos champêtres;
comme jadis : bleuets et coquelicots (serait-ce un jeune agriculteur contemplatif qui s'abstient d'épandage chimique pour mieux fumer son champ?)






Hier au soir tournée complète de mes bordures : lièvre, chevreuils :




... et un cerf en velours alerté par les cris du chevrillard, qui a daigné lever la tête du colza pour s'y replonger jusqu'à la nuit ; il faut bien l'avouer il faisait très chaud.

Et pas de photos...
Les foins sont terminés, la récolte des céréales est démarrée [info pour nos citadin (es)]
et dans quelques semaines le colza sera ramassé...

Ah quand reverrai-je...?
Nous n'irons plus au champ, les colzas sont coupés...

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